REBELLE !

 

          C’est drôle, a priori, il n’y a pas de contraire. On peut être rebelle, mais pas le contraire. C’est à dire qu’on peut être le contraire de rebelle, c’est à dire non rebelle, mais ça n'a pas de nom. Alors, on use de périphrases ou d’images. On dit bien policé, ou bien, respectueux de l’ordre établi mais, il n’y a pas de mot spécifique. On pourrait croire que, ne pas être rebelle, c’est la situation normale et que ce n’est que quand ce n’est pas normal qu’il faut désigner la chose de façon à la stigmatiser. On peut noter au passage que le mot rebelle porte en lui une connotation péjorative.

          Bon, soyons sérieux. Rebelle, qu’est-ce que ça veut dire au juste ? Voyons le dictionnaire. Rebelle : (adjectif) qui désobéit à une autorité légitime, qui se révolte contre elle. Figure, qui résiste à l’action qu’on veut exercer (cheveux rebelles, fièvre rebelle). (Nom) : Celui qui se révolte contre l’autorité établie. Pendant que nous y sommes, voyons aussi deux autres mots voisins : Se rebeller : Verbe pronominal du premier groupe : se soulever contre l’autorité légitime. Figure, ses sens se rebellent contre la raison. Et enfin, rébellion : nom féminin ; révolte, résistance ouverte à l’autorité légitime. Ensemble des rebelles. Droit : Action d’empêcher par violence l’exécution des ordres de justice.

          Il est à noter que la notion d’autorité légale revient très souvent.  Donc, un rebelle, c’est quelqu’un qui ne veut pas obéir à la loi, quelqu’un qui désobéit. Il y a toutefois une nuance entre désobéir et ne pas vouloir obéir. Celui qui ne veut pas obéir, cela l’ennuie très fort, mais il finit par le faire bon gré mal gré tandis que franchement désobéir, c’est quand même plus dangereux.

          Commençons par le commencement. Le petit enfant qui émerge dans la vie sociale, pour y affirmer sa personnalité commence toujours par le refus.

Lulu, mange ta bouillie

Non !

          Lulu mets tes chaussettes

          Non !

Même s’il obtempère, du reste. Il commence par dire non. Pour se différencier de l’adulte (l’autorité compétente) l’enfant n’a pas d’autre solution que d’être dans le refus. Il faut un temps assez long de maturation pour que l’individu ait la capacité de comprendre qu’il peut être en accord avec les vues consensuelles sans pour cela hypothéquer sa liberté individuelle.

Il est plus facile (intellectuellement) de dire non que de dire oui. 

Remarquons, à ce titre le nombre de personnes qui commencent systématiquement leurs phrases par « non ». Non, mais… Serait-ce un reste
d’infantilisme ? Alors qu’ils commenceraient par « oui », cela voudrait dire rigoureusement la même chose. Oui, mais…

Dire non, c’est se démarquer, c’est affirmer son originalité et son unicité. Dire oui, c’est constater sa dilution dans la masse. Dire oui, c’est capituler, Dire non, c’est être rebelle.

La rébellion est-elle une forme d’infantilisme ?

A l’opposé, accepter, qu’est-ce que c’est ? C’est appliquer de façon automatique les modes de fonctionnement imposés par l’éducation.

L’éducation. Je ne crois pas que je vais me lancer dans l’étude exhaustive du concept. Cependant, je livre à votre sagacité cette remarque. Pour les horticulteurs, tailler un arbre (un poirier, par exemple) en espalier pour augmenter sa productivité, c’est l’éduquer. Eduquer, c’est contraindre. Bien sûr, c’est aussi donner des supports. Mais c’est quand même contraindre. 


Hou là ! J’entends déjà les cris de vierges effarouchées provoqués par ce que je viens de dire. Eduquer c’est contraindre. J’en ris tout seul. Et pourtant : Pour que le petit enfant contrôle ses sphincters, vous faites le nécessaire. Si vous n’intervenez en aucune sorte, il continuera à faire pipi dans sa culotte. Chose amusante, c’est la même histoire pour les petits chats ou les petits chiens. Le chien est capable de « se retenir » en attendant que vous vouliez bien le sortir. Même, en cas d’urgence, il est capable de vous le manifester de façon compréhensible. Vous croyez que si vous ne l’aviez pas contraint au début il en serait de même ? Vous croyez qu’un chien (ou un chat) sauvage ne pisse pas quand ça le prend… Comme une envie de pisser ?

Pour un enfant, les rudiments de la vie en société sont des contraintes. Les formules de politesse, dire bonjour, merci, ne pas se rouler par terre devant les vitrines de marchands de bonbons en hurlant et en se faisant pipi dessus, vous croyez que ça vient tout seul, que c’est une fonction naturelle comme les pommes qui poussent d’elles même sur les arbres ?

J’insiste. Eduquer, c’est contraindre.

Alors, il y a ceux qui acceptent facilement la contrainte et ceux qui ont du mal. Ceux pour qui la rébellion est plus persistante.


Donc, je réitère : La rébellion est une forme d’infantilisme attardé.

A l’opposé être non rebelle, c’est à dire parfaitement conforme au moule de la société, ça ne vient pas tout de suite. Il faut du temps, il faut l’expérience. Il faut les années. On remarquera que des gens qui ont été longtemps rebelles, en vieillissant s’assagissent. Les personnes très âgées, par lassitude ont fini par accepter tout ce qu’on leur inflige. Elles n’ont plus envie de se battre parce qu’elles ont compris que quand on se bat, le plus souvent, on reçoit des coups et, recevoir des coups, c’est désagréable. Il s’en suit que : être très vite respectueux de l’ordre établi, ce doit être une forme de vieillissement anticipé.

On se souviendra au passage deux expressions populaires complémentaires : un vieux qui est jeune dans sa tête, un jeune qui est vieux dans sa tête.

Résumons :

          La rébellion est une forme d’infantilisme attardé.

          La non rébellion est une forme de sénilité précoce.

Débrouillez vous entre les deux.

Il est amusant de constater au passage que notre époque qui fait l’apologie du « jeunisme » fait aussi l’apologie de la rébellion. On s’extasiera volontiers en admirant l’aspect rebelle d’un individu qui devant les caméras de télévision montre ses fesses. C’est un grand rebelle. Il ne sait faire que ça. Mais quelle immense rébellion !

On fera aussi un rapprochement avec les positions politiques des individus et, par voie de conséquence, avec les positions des partis politiques. Les conservateurs, par essence sont des non rebelles. Ils s’appuient sur l’expérience et la sagesse ; c’est à dire sur l’âge mûr. Inversement, ceux qui se veulent non conservateurs se donnent une image rebelle et jeune. Ils affectent de tout critiquer. Quelles que soient les propositions de leurs adversaires, ils n’ont qu’un but : Marquer une opposition scandalisée. Ils sont dans le refus permanent de tout pour le principe. Pour réaffirmer leur originalité, ils ne peuvent que se rebeller. N’existant que dans la rébellion, ils ne sont pas capables de gouverner. Je rappelle que la rébellion n’existe que dans son opposition avec le pouvoir légal.

C’est bien gentil, tout ça, mais c’est parfaitement stérile.

Pour avancer, je propose de voir un autre concept.

Révolté.

C’est presque la même chose.

Eh, je ne vous raconte pas de blagues. Attendez, je cite. Révolté : (adjectif et nom) qui est en révolte, qui s’indigne.

Bon, alors. Révolte : (nom féminin) 1 Rébellion, soulèvement contre l’autorité établie (figure la révolte des sens). 2 Indignation, sursaut de colère.

Alors ? Hein ? Qu’est-ce que je disais ? Une révolte, c’est une rébellion. 

On pourrait peut être supposer que le rebelle, c’est plutôt au niveau de l’individu. Alors que le révolté c’est plus celui qui appartient à une révolte, donc plutôt avec une vision collective. Mais ça, c’est seulement moi qui le dit. Toutefois, on dit plus facilement un rebelle qu’un révolté pour un individu et plus facilement une révolte qu’une rébellion pour un groupe.

Voyons ça de plus près du côté étymologique.

Ah ! Ce n’est pas très clair. Mais déjà une chose, l’origine n’est pas la même. J’avais un peu pensé qu’avec la confusion courante entre le « b » et le « v », l’origine aurait pu être commune. Et bien, non ! Cependant, C’est à la fois simple et ennuyeux ; Surtout pour rebelle. Donc, Se rebeller ; (fin du douzième) Latin rebellare de bellum (guerre). Mais aussi, Rebelle : Latin rebellis (révolté). Je ne suis que modérément satisfait d’expliquer « rebelle » par « révolté » puisque, on va le voir, ça ne marche pas dans l’autre sens. Révolter (se) : (1500 mais dans son sens moderne fin du dix septième) Se retourner de l’italien rivoltare (retourner) ; participe rivolto  de rivolgere du latin revolvere (voir aussi révolu). Vous voyez, ce n’est pas clair du tout. Et expliquer rebelle par révolté qui n’apparaît dans la langue française que cinq cents ans après…

Justement. La confusion des deux mots implique bien ce sens voisin. Quoi qu’il en soit, les mots sont différents. Rebelle, c’est la violence, la guerre (bellum) Et révolté, c’est un retournement (vous savez, une chaussette que l’on retourne, ou bien un estomac qui se retourne et réexpédie tout ce qu’on a mis dedans par dessus bord ; bon, il y a aussi ceux qui retournent leur veste). J’aime assez cette nuance de retournement parce qu’elle va me servir pour la suite.

Pour le moment, et avant d’introduire un troisième terme, nous en sommes aux deux visions suivantes : Le révolté, c’est celui qui est retourné (on dit aussi bouleversé). Il y a une notion de souffrance pour en arriver là. Eh, vous le visionnez, vous l’individu retourné comme un gant de toilette avec la peau rentrée à l’intérieur et le tube digestif qui sert d’emballage à l’ensemble ? Quelle horreur ! Pour en arriver là, ce doit être, effectivement, extrêmement  douloureux. Le rebelle, c’est le sale gosse désobéissant. Là, moins de souffrance, mais plus de violence. Le rebelle fait subir ce qu’il ressent aux autres tandis que le révolté garde sa souffrance.

Quoi qu’il en soit, les deux mots par glissement sémantique sont très voisins et l’on passe facilement de l’un à l’autre.

Nous avons donc la rébellion et la révolte.

Et la révolution, alors ?

Bien que l’on soit tenté de le rapprocher de révolte à cause de la ressemblance phonémique, c’est autre chose.

Allez, je vous inflige encore les dictionnaires. Révolution : Nom féminin.1 (astronomie) Retour d’un astre dans sa course au point dont il était parti. Par analogie, la révolution des saisons, leurs successions régulières. 2 Mouvement de rotation d’un corps, d’un plan, d’une ligne autour d’un axe (figure ainsi obtenue, cône de révolution). Mécanique ; tour complet d’une partie de machine autour de son axe. 3 Changement brusque et violent qui transforme les choses. Révolutions terrestres (phénomènes orogéniques). Révolution dans les idées, dans les mœurs. Particulièrement changement violent dans le gouvernement, la structure d’un état. La révolution française (celle de 1789). Voyons aussi l’étymologie. Astronomie, fin du douzième siècle. Changement important, fin du seizième. Bas latin, revolutio (retour, révolution des astres. Mais aussi déjà au quatrième siècle revolutus (ce qui est révolu, ce qui a achevé son circuit). On constate que l’étymologie, contrairement à ce qu’on aurait pu penser est différente de celle de « révolte ». Il ne s’agit plus de se retourner, mais de tourner. Là va être toute la différence.

Le révolté se retourne lui même ; le révolutionnaire fait tourner la machine du monde.

Dans un premier temps, il faut bien se souvenir des utilisations du mot révolutionnaire. On parlera d’une technique révolutionnaire ou d’un médicament révolutionnaire. Vous voyez, « révolutionnaire », ce n’est pas un gros mot. Il implique seulement un retournement définitif et drastique dans l’évolution de l’histoire de l’humanité. Vous vous rendez compte… Celui qui le premier a eu l’idée de mettre un manche à son outil de pierre taillée ! Un immense révolutionnaire ! Et il a du être décrié et montré du doigt par les conservateurs de son époque. Le révolutionnaire veut modifier le monde. Son rêve est de modifier l’évolution naturelle des choses. Il a du mal à envisager un glissement continu. Entre l’ancien outil sans manche et le nouveau avec, il n’y a pas de mesure moyenne. Le révolutionnaire pense en rupture avec le passé. C’est un inventif, un créateur. Bien sûr, il peut se tromper et vouloir établir une nouveauté impossible. Dans ce cas, il n’en est pas moins révolutionnaire. Simplement, il manquait d’éléments (peut-être théoriques) pour réaliser son projet ou pour mesurer son impossibilité. Les machines volantes de Léonard de Vinci n’ont jamais fonctionné. N’empêche que maintenant, on vole. On vole et on admire ses visions prophétiques. Parler d’avancées révolutionnaires sur le plan technique, ça ne pose aucun problèmes.

Là où le bat blesse, c’est quand on veut avoir une vision révolutionnaire sur le plan socio-politico-économique.

Diable ! Et pourquoi donc ?

Imaginez, nous sommes sous l’ancien régime. La société est bâtie sur une inégalité en droit. Qui veut abolir cette inégalité ? Ceux qui par cela sont spoliés. Qui s’y oppose ? Ceux qui en tirent leur puissance. Qui possède les commandes politiques de la société ? Les seconds. Il n’y a donc aucune raison que cette vision révolutionnaire de la cité puisse aboutir. Ceux qui tiennent ces propos et les défendent seront taxés d’esprits destructeurs aux propos blasphématoires. Certes, la chose finira par être acquise, mais pas sans difficultés et sans heurts.

Redisons comment s’articulent les trois mots : Rebelle, révolté, révolutionnaire. On passe de l’un à l’autre de deux façons différentes. Entre rebelle et révolté, le glissement est juste sémantique tandis que de révolté à révolutionnaire, le glissement est cette fois phonétique. C’est un peu comme si on avait une transitivité d’abord entre deux synonymes puis pour l’un des deux vers un presque homonyme. La translation est fausse puisqu’elle change de raison en cours de route.

Récapitulons. Dans un état, une situation de malaise est installée. Le pouvoir en place (ceux qui profitent de la situation) ne veut pas y remédier. Le rebelle, c’est celui qui refuse. C’est le sale gosse. Le révolté, c’est celui qui souffre dans ses viscères des fonctionnements qu’il honnit. Le révolutionnaire, c’est celui qui propose autre chose. Pour l’autorité légitime, lequel est le plus dangereux ? Contre qui le pouvoir en place va-t-il braquer toutes se batteries ?

Cela dit, passons à quelques constatations.

Lorsque dans un pays, une partie de la population est en lutte armée avec le gouvernement officiel. Il est à noter que les dissidents se proclament révolutionnaires et le gouvernement en place pour les discréditer ne les appelles jamais autrement que « la rébellion ». Il y a forcément un côté qui se trompe. Peut-être ne sont-ils que des rebelles et ils se trompent sur leur finalité. En revanche peut-être sont-ils vraiment révolutionnaires et dans ce cas, c’est le gouvernement qui se trompe.

Il y a eu souvent des révoltes qui n’étaient pas révolutionnaires. La révolte de Spartacus, la Grande Jacquerie, la guerre des paysans en Allemagne. 

De même il y a eu des évènements que l’on a baptisé Révolution et qui, par manque de support théorique n’étaient que des rébellions. Les révoltes au Mexique autour de 1910 (Pancho Villa 1876 1923 et Emiliano Zapata 1879 1919) n’étaient rien d’autre que des rébellions ou des révoltes sans avenir parce que sans projet et sans réflexion sur les modifications à
apporter. Egalement, la révolution en France de 1830 a été sans lendemain pour les mêmes raisons. Une Révolte ou une rébellion peut aboutir en s’emparant du pouvoir mais échouer par manque de projets et de prévisions.  S’emparer du pouvoir est une chose. Mais après, qu’en fait-on ?

Pour ma part, quand je vois un parti politique se lancer à l’assaut du pouvoir en parlant de changement sans avoir de projet, cela me donne froid dans le dos.
      Au passage, je vous livre un petit rapprochement qui m’amuse. Autrefois, lorsqu’un enfant était rebelle, on lui flanquait une fessée et tout rentrait dans l’ordre. Au même titre, un rebelle adulte, on l’attrapait, on le pendait et on n’en parlait plus. Aujourd’hui, avec l’enfant, pour montrer sa grande sagesse psychopédagogique et sa largeur de vue, on le supporte comme on peut, mais on le laisse faire. Vous savez, l’enfant roi. Pour le rebelle adulte, on le laisse faire aussi. Cela permet également, à un gouvernement, 
de s’auto valoriser et montrer aussi sa grandeur d’âme et son sens de la liberté individuelle. Je ne sais pas, je vois là comme un parallèle. 

Mieux, si on laisse s’exprimer les « rebelles » en en faisant même, par média interposé, des espèces de divinités artificielles, cela montre à quel point on est respectueux de la libre pensée d’autrui. Des chanteurs qui se croient « engagés » peuvent vomir leur haine et proposer de « casser la gueule » à tout le monde (enseignement, police, justice, fisc et autres) et ceci en se déplaçant toujours avec le poing levé. C’est quoi leur programme ? Casser la gueule… C’est riche. Du coup, cela masque ceux qui ont des propositions et en même temps, cela permet de dévoyer la conscience populaire qui (ne voyant jamais rien d’autre) finit par croire que l’avenir passe par là. L’absence de projets et de solutions conduit à un manque d’avenir et d’espérance. Il suffit de tout casser et surtout la gueule de tout le monde.  Et après, on s’étonne de voir les banlieues brûler. Ce qui aurait été étonnant, c’eut été qu’elles ne brûlassent pas.

Pour un pouvoir en place, lutter contre des risques révolutionnaires potentiels, cela peut consister à survaloriser des positions rebelles ponctuelles et sans lendemain afin que l’arbre cache la forêt. Donner la parole à des asociaux caractériels et stériles, c’est la retirer à d’autres qui  en auraient fait un autre usage.

Et puis, tenez, pour finir, je vous rappelle ce dialogue que l’on prête à Louis XVI avec je ne sais plus qui. Il demandait : C’est une révolte ? Et l’autre : Non, Sire, c’est une révolution.

 

Commentaires: 2
  • #2

    thilloy (samedi, 04 juillet 2020 17:56)

    ATTENTION quelques petites erreurs sur l'éducation et la propreté des enfants et mes petites erreurs en écrivant le texte sans regarder l'écran quand j'écris avec le clavier .
    .Quand on parle de propreté chez l'enfant et de l'obtenir vers un age de 18 mois ou 2 ans par l'éducation contrainte c'est une hérésie car l'enfant qui vit dans une tribue au sein de la nature ou le temps sociale et les protections par les couches n'existent pas et ou l'enfant vit nu sans contrainte de propreté sa propreté vient naturellement vers 3 ans et les travaux sur le développement neurologique de l'enfant et du cognitif montre que l'enfant aura sa maturité neurologique pour la propreté vers 3 ans aussi c'est donc la société économico-sociale du travail marchand et industrielle qui impôse et met des contraintes éducatives sur la propreté . L'éducation n'est pas la contrainte ,quand j'éduque mon chien à l'agiliti , il n'y a pas de contrainte , depuis son plus jeune age le chien est habitué par exemple à jouer avec une balle et par son intermédiaire on lui fait faire des actions répétées progressives en agiliti par le jeu de balle et le chien arrive à faire des choses de disciplines différentes .L'éducation à l'école à ses contraintes sociales du travail des parents ,les contraintes des planings des enseignants et des personnels administratifs ,les contraintes horaires ,les contraintes d'ages car à tel age il faut avoir tels acquis puis à un autre age d'autres acquis etc mais surtout ces contraintes sont là pour servir l'économie tant d'élèves d'après bac pour les universités ,tant pour les Bts ,tant pour les Bacs pro ,et tant pour les c a p etc une forme d'aiguillage pour les secteurs marchands ,des services et industriels .L'éducation la vraie ne doit pas être un système à contraintes qui n'est là que pour servir l'économie mais pas l'être humain .

  • #1

    thilloy Marc (samedi, 04 juillet 2020 13:54)

    ATTENTION quelques petites ereurs sur l'éducation et propreté .Quand on parle de propreté chez l'enfant et de l'obtenir vers un age de 18 mois ou 2 ans par l'éducation contrainte c'est une hérésie car l'enfant qui vie dans une tribue au sein de la nature ou le temps sociale et les protections par les couches n'existent pas et ou l'enfant vit nu sans contrainte de propreté sa propreté vient naturellement vers 3 ans et les travaux sur le développement neurologique de l'enfant et du cognitif montre que l'enfant aura sa maturité neurologique pour la propreté vers 3 ans aussi c'est donc la société économico-sociale du travail marchant et industrielle qui impôse et mais des contraintes éducatives sur la propreté . L'éducation n'est pas la contrainte ,quand j'éduque mon chien à l'agiliti , il n'y a pas de contrainte , depuis son plus jeune age le chien est habitué par exemple à jouer avec une balle et par son intermédière on lui fait faire des actions répétées progressives en agiliti par le jeu de balle et le chien arrive à faire des choses de disciplines différentes .L'éducation à l'école à ses contraintes sociales du travail des parents ,les contraintes des planings des enseignants et des personnels administratifs ,les contraintes horaires ,les contraintes d'ages car à tel age il faut avoir tels acquis puis à un autre age d'autres acquis etc mais surtout ces contraintes sont là pour servir l'économie tant d'élèves d'après bac pour les universités ,tant pour les Bts ,tant pour les Bacs pro ,et tant pour les c a p etc une forme d'aiguillage pour les secteurs marchands ,des services et industriels .L'éducation la vraie ne doit pas être un système à contraintes qui n'est là que pour servir l'économie mais pas l'être humain .

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